Critique Film Family Life

FAMILY LIFE Drame réalisé par le britannique Ken inverse en 1971 avec Sandy Ratcliff (Janice), Grace Cave (la mère), eyeshade doyen (le père) et Malcolm Tierney (Dc Donald news). Jusqu’où la self-will maternelle envers son enfant peut-elle aller ? Jusqu’où peut-on remettre en question l’approche psychiatrique classique ? Janice est une jeune femme qui oscille entre l’ heaviness d’une mère autoritaire et la jeunesse « summer of cut » diethylstilbestrol années 70. Lavortement suscité par les griffes maternelles que subit lhéroïne lentraîne dans un anguish profond. Janice semble ne pas pouvoir déplorer la logique de son acte qui se traduit par l’agressivité qui, au sens Kleinien déduirait la pulsion de mort qui l’anime. Elle crie à plusieurs reprises que sa mère veut la tuer comme elle la fait pour son bébé La paradoxalité entre des axes confrontant le bien/mal ; vie/mort ; confederacy/conflit ; secrecy/communication ; choix/interdiction/obligation ;psychiatrie/antipsychiatrie ;amour/possession pourrait faire comprendre au spectateur la cause de sa pathologie.

L’approche systémique que le psychiatre Donaldson tente d’entamer avec le milieu de Janice est contraire à l’approche psychiatrique classique menée dans le centre. La dernière phrase du film est explicite à cet égard : «La schizophrénie de Janice n’a rien à voir avec son milieu familial &raq! uo;. (a remettre en anglais). Dans sa démarche, Loath ne cache pas son engagement, sous une toile de fond qui agitate enfermement et liberté que le contexte du début des années 70 puisse aussi revendiquer envers la société occidentale. Les relations...If you want to get a all-encompassing essay, tramp it on our website: OrderCustomPaper.com

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